lundi 21 avril 2008

Songkran ou la fête du nouvel an thaï

Thaïlande, à partir du 13 et jusqu'au 16 avril...

Il fait cette fois très très chaud...

la traditionnelle fête du nouvel an thaï appelée "Songkran" a lieu tous les ans entre le 13 et le 16 avril. En fait, nous sommes en pleine période de la saison chaude et le nouvel an appelle à la saison des pluies. Ce qu'on y fait? On se balance de l'eau à la tronche! Plus clairement, des groupes de thaïs se rassemblent au bord de la route à côté de bacs d'eau et aspergent motos et voitures qui ont le malheur de passer!!! De ce côté là, tout va bien...Mais quand on est soi-même sur la moto et que l'on reçoit de l'eau avec des glaçons, c'est nettement moins marrant.

Pour Songkran, je suis allée tout au Nord de la Thaïlande, au niveau du triangle d'or, à la frontière thaïlando-birmano-khmère où j'ai rejoint Aurélia, bambou à Chiang Sen, Thomas et Paul bambous karens venus pour l'occasion et Céline, volontaire Fidesco dans la région... Je vous laisse le soin de vous rendre compte de l'ambiance grâce à cette vidéo.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Enorme !!!
Profite a fond de ton experience !!! je t'envie pour le soleil !!! ici il pleut toujours meme si la semaine derniere a été ensoleillée, la pluie a repointé son nez il y a quelques jours ...
je t'embrasse fort et pense bien a toi
alix

Anonyme a dit…

« La nature de la pluie est toujours la même et pourtant, elle produit aussi bien des épines dans les marais que des fleurs dans les jardins. » (proverbe arabe)
Il nous faudrait apprendre à dire “il fait beau” quand il pleut, car la pluie aussi est belle et bénéfique. Il nous faudrait ne pas maudire l’événement apparemment négatif, parce qu’il se pourrait qu’il soit l’ambassadeur d’une bonne nouvelle. Il nous faudrait apprendre à contempler les êtres et les choses dont la beauté ne saute pas aux yeux, parce que la beauté est partout, et jusqu’aux misères du monde, si nous exerçons notre manière de regarder. Il nous faudrait accepter de cheminer joyeusement sur des sentiers difficiles, désertés ou peu avenants, parce qu’il se pourrait que des panoramas sublimes nous apparaissent en cours de route.
Il nous faudrait exercer notre regard et convertir notre esprit à percevoir dans le filigrane de l’invisible que tout est pourvu de beauté et de signification, y compris ce que nous serions tentés de repousser ou de fuir.

François Garagnon

Anonyme a dit…

C'est bien toi qui balance de l'eau ? Tu as l'air d'être dans ton élément, tu te fais bien à la culture thaï on dirait :-)

Clém